La kinésiologie pour les enfants et adolescents

Votre enfant traverse une période difficile ?
Votre adolescent semble perdu ou en souffrance ?

La kinésiologie est une approche douce et efficace qui accompagne les jeunes dans leurs défis quotidiens. Qu’il s’agisse de difficultés émotionnelles, comportementales, scolaires ou physiques, cette méthode permet d’identifier et de libérer les blocages qui freinent leur épanouissement.

Le corps parle quand les mots manquent. Grâce au test musculaire, la kinésiologie accède à la mémoire corporelle pour comprendre ce qui se cache derrière les symptômes.

Les séances sont adaptées à l’âge et au rythme de chacun, dans un cadre bienveillant et sans jugement.

Découvrez ci-dessous quelques exemples de situations dans lesquelles la kinésiologie peut souvent aider votre enfant ou adolescent.

Les séances sont adaptées à l’âge :

  • Pour les enfants : approche ludique, avec des exercices simples et concrets
  • Pour les ados : respect de leur intimité
  • Pour les nourrissons et très jeunes enfants: transfert sur le parent présent

Si vous reconnaissez votre enfant ou adolescent dans une ou plusieurs situations décrites ci-dessous, n’hésitez pas à me contacter pour un premier échange.

Prenez rendez-vous :

1. L’énurésie (pipi au lit)

La situation : Votre enfant a plus de 5-6 ans et mouille encore régulièrement son lit. Les nuits sont source d’angoisse pour lui et d’inquiétude pour toute la famille. Malgré vos efforts (limitation des boissons, réveil nocturne, récompenses), rien n’y fait.

Signe concret : Les examens médicaux (échographie, analyses) sont normaux, mais le problème persiste depuis des mois voire des années. Votre enfant commence à refuser les invitations chez les copains par peur.

Ce qui se passe : L’énurésie est souvent l’expression corporelle d’un stress émotionnel ou d’une anxiété que l’enfant ne parvient pas à exprimer avec des mots. Un événement marquant (déménagement, naissance d’un frère/sœur, séparation des parents, changement d’école, conflit) peut être resté « coincé » dans son corps. Le système nerveux reste en alerte même pendant le sommeil.

Comment la kinésiologie aide : La kinésiologie identifie l’origine émotionnelle du blocage et libère les tensions associées. L’enfant retrouve progressivement le contrôle naturel de sa vessie, sans pression ni honte. Les parents témoignent souvent d’une amélioration dès les premières séances.

2. Les comportements compulsifs

La situation : Votre enfant se ronge les ongles jusqu’au sang, s’arrache les cheveux ou les cils, suce encore son pouce à 8 ans et plus, fait des tics nerveux, ou présente des gestes répétitifs qu’il ne peut pas contrôler.

Signe concret : Votre enfant est conscient que « c’est pas bien », il veut arrêter, mais c’est plus fort que lui. Les rappels constants ne changent rien – voire aggravent la situation par la culpabilité.

Ce qui se passe : Ces comportements sont des stratégies inconscientes pour réguler une anxiété, une insécurité ou un stress intérieur. L’enfant ne le fait pas « exprès » – c’est un mécanisme automatique qui l’apaise momentanément face à une tension émotionnelle qu’il ne sait pas gérer autrement. Souvent, il y a une recherche de contrôle ou un besoin de « s’ancrer » face à quelque chose qui le dépasse.

Comment la kinésiologie aide : En identifiant le besoin émotionnel non satisfait qui se cache derrière le comportement compulsif, la kinésiologie aide l’enfant à trouver d’autres moyens de s’apaiser. Une fois la cause profonde libérée, le comportement perd sa raison d’être et s’atténue naturellement, sans frustration ni punition.

3. Les difficultés scolaires et d’apprentissage

La situation : Votre enfant a du mal à se concentrer, à mémoriser ses leçons, à lire couramment ou à comprendre les mathématiques. Il peut souffrir de dyslexie, dyspraxie, dyscalculie, ou simplement « décrocher » à l’école. Les devoirs deviennent un calvaire pour toute la famille.

Signe concret : Votre enfant pleure devant ses cahiers, dit « je suis trop bête » ou développe des maux de ventre les matins d’école. Le soutien scolaire classique ne résout pas le problème car ce n’est pas une question de « travail » mais de blocage.

Ce qui se passe : Des blocages émotionnels (peur de l’échec, manque de confiance, stress de performance), des réflexes archaïques non intégrés, ou des difficultés de connexion entre les hémisphères cérébraux peuvent perturber les capacités naturelles d’apprentissage. L’enfant fait de son mieux mais son cerveau ne « coopère » pas – il se sent « nul » alors qu’il est tout à fait capable.

Comment la kinésiologie aide : La kinésiologie éducative (Brain Gym) rétablit les connexions neuronales, libère le stress lié à l’école et renforce la confiance en soi. Les exercices spécifiques améliorent la coordination œil-main, la latéralité, la concentration et la mémoire. L’enfant retrouve le plaisir d’apprendre et ses résultats s’améliorent naturellement.

4. Les troubles émotionnels et crises

La situation : Votre enfant fait des crises de colère disproportionnées, pleure pour un rien, a des peurs irrationnelles (du noir, de la séparation, des monstres), se montre agressif ou au contraire excessivement timide et renfermé. Les émotions sont comme des montagnes russes.

Signe concret : Les crises sont quotidiennes, imprévisibles et épuisantes. On vous dit que « c’est l’âge, ça va passer », mais vous sentez que c’est plus profond que ça. Vous marchez sur des œufs en permanence à la maison.

Ce qui se passe : L’enfant n’a pas encore les outils pour comprendre et réguler ses émotions. Son système nerveux immature réagit de manière excessive aux stimuli. Des peurs, des insécurités ou des événements non digérés (même mineurs à nos yeux d’adultes) peuvent créer un état d’hypervigilance permanent. L’enfant est débordé par ce qu’il ressent.

Comment la kinésiologie aide : La kinésiologie rééquilibre le système nerveux et apprend à l’enfant (par le corps) à mieux gérer ses émotions. Elle libère les peurs ancrées et renforce le sentiment de sécurité intérieure. L’enfant devient plus calme, plus stable émotionnellement, et la vie familiale retrouve de la sérénité.

5. Les troubles physiques récurrents

La situation : Votre enfant souffre de maux de ventre fréquents, de migraines, d’eczéma, d’asthme, de troubles du sommeil (cauchemars, terreurs nocturnes, réveils multiples), ou tombe souvent malade. Les examens médicaux ne révèlent rien d’alarmant mais les symptômes persistent.

Signe concret : Le médecin vous dit « c’est psychosomatique » ou « c’est le stress ».

Ce qui se passe : Le corps de l’enfant exprime ce que sa tête ne peut pas dire. Ces manifestations physiques sont souvent l’expression somatique d’un stress, d’une anxiété ou d’une émotion refoulée. L’enfant « porte » quelque chose sur son corps – une peur, une tristesse, une tension familiale. C’est sa façon de communiquer sa souffrance.

Comment la kinésiologie aide : En identifiant le lien entre le symptôme physique et sa cause émotionnelle, la kinésiologie libère la tension à la source. Le corps n’a plus besoin d’exprimer sa souffrance par la maladie ou la douleur. Les symptômes s’atténuent progressivement et l’enfant retrouve sa vitalité naturelle.

Note importante : La kinésiologie est un accompagnement complémentaire qui ne remplace en AUCUN CAS un suivi médical. Il ne vous sera JAMAIS demandé d’arrêter un traitement médical.

 

1. La perte de confiance et l’estime de soi

La situation : Votre ado se dévalorise constamment, ne se trouve jamais assez bien (physiquement, intellectuellement, socialement). Il/elle refuse de participer en classe, évite les photos, se compare sans cesse aux autres, ou se replie sur lui/elle-même. Les commentaires négatifs sur soi sont permanents.

Signe concret : Votre ado refuse de sortir, passe des heures devant le miroir avec insatisfaction, ou dit régulièrement « de toute façon je suis nul(le) ». Les encouragements glissent sur lui/elle sans effet.

Ce qui se passe : L’adolescence est une période de construction identitaire fragile, amplifiée par les réseaux sociaux et la pression du groupe. Des blessures émotionnelles (moqueries, rupture amicale/amoureuse, échecs), des croyances limitantes (« je ne suis pas assez ») ou un perfectionnisme excessif peuvent miner profondément la confiance en soi. L’ado porte un regard très critique sur lui-même.

Comment la kinésiologie aide : La kinésiologie identifie l’origine des croyances négatives et libère les blessures émotionnelles qui alimentent le manque d’estime. Elle aide l’ado à reconnecter avec ses forces, ses qualités et sa valeur intrinsèque. La confiance se reconstruit progressivement, de l’intérieur.

2. L’anxiété de performance et le stress scolaire

La situation : Votre ado est paralysé avant les examens, perd ses moyens pendant les contrôles malgré ses révisions, développe des crises d’angoisse liées au lycée, ou présente une phobie scolaire. La pression est telle qu’il/elle envisage parfois le décrochage.

Signe concret : Votre ado révise pendant des heures mais « oublie tout » pendant le contrôle. Il/elle a des crises de panique la veille des examens ou refuse d’aller au lycée les jours d’évaluation.

Ce qui se passe : La pression scolaire (orientation, Parcoursup, notes, comparaisons) crée un stress chronique intense. Le cerveau en mode « survie » ne peut plus fonctionner de manière optimale : la mémoire se bloque, la concentration disparaît, le corps se crispe. L’ado vit dans la peur permanente de décevoir ou d’échouer. Un cercle vicieux s’installe : plus il/elle stresse, moins ça marche, plus il/elle stresse.

Comment la kinésiologie aide : La kinésiologie désactive les mécanismes de stress et rétablit l’accès aux ressources cognitives (mémoire, concentration, réflexion). Elle travaille sur les peurs d’échec et le perfectionnisme. L’ado apprend à gérer la pression, retrouve ses capacités intellectuelles et aborde les examens avec plus de sérénité.

3. Les difficultés relationnelles et l’isolement

La situation : Votre ado n’a pas ou plus d’amis, se sent exclu(e) ou rejeté(e), subit du harcèlement, ou au contraire s’isole volontairement et refuse toute vie sociale. Les relations familiales sont également tendues, avec des conflits permanents ou un mutisme total.

Signe concret : Votre ado passe toutes ses journées seul(e) dans sa chambre, refuse les invitations, ou rentre régulièrement en pleurs en parlant de conflits avec ses pairs. Les tentatives de dialogue tournent au conflit.

Ce qui se passe : Les relations à l’adolescence sont complexes et cruciales pour la construction identitaire. Des blessures relationnelles (trahison, rejet, manipulation), une hypersensibilité, des difficultés à poser des limites, ou une peur du jugement peuvent pousser l’ado à se couper des autres pour se protéger. Ou à l’inverse, à subir des relations toxiques par manque d’estime de soi.

Comment la kinésiologie aide : La kinésiologie travaille sur les blessures relationnelles, renforce les limites personnelles et aide à développer l’assertivité. Elle libère les peurs du rejet et du jugement. L’ado retrouve confiance dans sa capacité à créer des relations saines et ose s’ouvrir aux autres.

4. Les conduites à risque et addictions

La situation : Votre ado consomme de l’alcool, du cannabis, passe des heures excessives sur les écrans/jeux vidéo, a des comportements dangereux (vitesse, défis), ou présente des troubles alimentaires (anorexie, boulimie, orthorexie). Ces comportements deviennent incontrôlables.

Signe concret : Votre ado minimise le problème (« je gère »), mais vous voyez bien que ça lui échappe. Les discussions tournent à l’affrontement et vous vous sentez impuissant(e). La situation s’aggrave malgré vos efforts.

Ce qui se passe : Ces conduites sont souvent des tentatives de « s’anesthésier » face à une souffrance intérieure, un vide existentiel, ou une anxiété insupportable. L’ado cherche à fuir quelque chose (des émotions, des pensées, une réalité) qu’il/elle ne sait pas affronter autrement. C’est aussi une façon d’exister, de s’affirmer, ou de gérer une pression trop forte.

Comment la kinésiologie aide : La kinésiologie identifie ce que l’ado tente de fuir ou de combler avec ces comportements. Elle travaille sur la cause profonde (trauma, manque, anxiété) et aide à trouver des stratégies plus saines pour gérer les émotions difficiles. L’ado reprend progressivement le contrôle et trouve d’autres sources d’équilibre.

5. La dépression et les pensées noires

La situation : Votre ado n’a plus goût à rien, reste couché(e) des heures, pleure souvent, exprime un profond mal-être, parle de « ne servir à rien », ou évoque des pensées suicidaires. La vie lui semble vide de sens.

Signe concret : Votre ado a changé : plus aucun plaisir, fatigue extrême, phrases comme « je veux disparaître » ou « ça ne sert à rien ». Vous êtes très inquiet(e) et cherchez toute aide possible pour le/la sortir de là.

Ce qui se passe : La dépression adolescente est une réalité grave, souvent sous-estimée. Elle peut résulter d’un cumul de facteurs : génétiques, environnementaux, traumatiques, hormonaux. L’ado se sent prisonnier d’une souffrance qui semble sans issue. Le corps et l’esprit sont comme « éteints », en mode survie minimale. C’est un appel à l’aide silencieux mais puissant.

Comment la kinésiologie aide : Important : La kinésiologie est un accompagnement complémentaire, elle ne remplace PAS un suivi médical/psychologique en cas de dépression. Elle peut cependant soutenir le travail thérapeutique en libérant des blocages émotionnels, en rétablissant la circulation énergétique, et en aidant l’ado à se reconnecter progressivement à ses ressources intérieures. Elle offre un espace de soin corporel doux.

Note importante : En cas de pensées suicidaires, consultez immédiatement un professionnel de santé (médecin, psychiatre, psychologue) ou contactez le 3114 (numéro national de prévention du suicide).

 

Votre bébé ou votre petit enfant exprime un mal-être mais ne peut pas encore l’exprimer avec des mots ?

Avant 6-7 ans, le test musculaire se fait par transfert sur le parent (généralement la mère ou le père). Concrètement, c’est vous qui êtes testé(e) en tant que « relais » de votre enfant. Le lien énergétique entre parent et enfant permet d’accéder aux informations du corps de l’enfant à travers le vôtre.

C’est validé par des années de pratique en kinésiologie périnatale et pédiatrique.

C’est une approche douce et non invasive : votre tout-petit n’a pas besoin de rester immobile ou de « faire » quoi que ce soit. Il peut jouer à côté, être dans vos bras, ou simplement être présent dans la pièce. Le travail se fait à travers vous, pour lui.

Cette période de la petite enfance est cruciale : les premières années de vie posent les fondations émotionnelles et physiques de toute une vie. Accompagner un tout-petit maintenant, c’est lui offrir les meilleures bases possibles.

Vous repartez aussi apaisé(e) : Souvent, en libérant les blocages de l’enfant, on libère aussi ceux du parent. Parce que vous êtes liés, énergétiquement et émotionnellement. Quand votre bébé va mieux, vous allez mieux. Et inversement.

1. Les troubles du sommeil

La situation : Votre bébé ou jeune enfant se réveille plusieurs fois par nuit, fait des cauchemars ou terreurs nocturnes, refuse de s’endormir seul, ou dort très peu. Les nuits sont épuisantes pour toute la famille depuis des semaines ou des mois.

Signe concret : Vous avez tout essayé (routine, veilleuse, co-dodo, ostéopathie…) mais rien n’y fait. Votre enfant hurle dès que vous quittez la chambre ou se réveille systématiquement toutes les 2 heures. Vous êtes au bout du rouleau.

Ce qui se passe : Les troubles du sommeil chez les tout-petits peuvent avoir plusieurs origines : une naissance difficile (césarienne, forceps, prématurité), un stress in utero (grossesse anxieuse, choc émotionnel), une séparation précoce (hospitalisation, reprise du travail), ou une hypersensibilité aux énergies environnantes. Le système nerveux du bébé reste en alerte et ne parvient pas à se détendre suffisamment pour un sommeil réparateur.

Comment la kinésiologie aide : En travaillant par transfert sur le parent, la kinésiologie identifie la source du stress chez l’enfant (parfois même des mémoires de la naissance ou de la grossesse). Elle apaise le système nerveux, libère les tensions et aide le tout-petit à se sentir en sécurité. Le parent repart aussi avec des outils concrets pour accompagner l’endormissement.

2. Les coliques, reflux et troubles digestifs

La situation : Votre bébé pleure plusieurs heures par jour, se tortille de douleur, régurgite ou vomit fréquemment, est constipé ou au contraire a des selles très liquides. Les repas sont sources d’angoisse et les pleurs semblent inconsolables.

Signe concret : Votre pédiatre dit que « c’est normal, ça va passer à 3 mois » mais vous êtes à 5 mois et rien ne s’améliore. Vous sentez votre bébé tendu, crispé, et vous l’êtes aussi. Les pleurs vous épuisent émotionnellement.

Ce qui se passe : Au-delà des causes physiologiques (immaturité digestive, allergies), les troubles digestifs du nourrisson sont souvent amplifiés par un stress émotionnel. Le ventre est le « deuxième cerveau » : il absorbe toutes les émotions, notamment l’anxiété maternelle post-partum, les tensions familiales, ou le stress vécu in utero ou pendant l’accouchement. Le bébé « digère » mal ces émotions autant que son lait.

Comment la kinésiologie aide : La kinésiologie travaille sur le lien émotionnel entre le parent et l’enfant. En apaisant les tensions du parent (qui sont souvent « transmises » inconsciemment au bébé) et en libérant les mémoires de stress du nourrisson, le système digestif se détend. Le bébé pleure moins, digère mieux, et toute la famille respire.

3. Les difficultés de séparation et l’angoisse d’abandon

La situation : Votre petit ne supporte pas d’être séparé de vous, même quelques minutes. Il hurle à la crèche, chez la nounou, ou dès que vous sortez de la pièce. Il s’accroche à vous en permanence et panique au moindre éloignement. Impossible de le confier sereinement.

Signe concret : Vous ne pouvez même pas aller aux toilettes sans que votre enfant hurle. Les départs à la crèche sont dramatiques tous les matins depuis des mois. Vous culpabilisez énormément et vous vous sentez prisonnièr(e).

Ce qui se passe : L’angoisse de séparation est naturelle vers 8-12 mois, mais quand elle devient extrême ou persiste au-delà, elle peut révéler une insécurité affective profonde. Cela peut venir d’une séparation précoce (hospitalisation du bébé ou de la mère, reprise brutale du travail), d’une grossesse anxieuse, ou de l’anxiété du parent lui-même qui se transmet à l’enfant. Le tout-petit ne se sent pas en sécurité quand vous n’êtes pas là.

Comment la kinésiologie aide : En travaillant par transfert, la kinésiologie renforce le sentiment de sécurité intérieure de l’enfant et libère les mémoires de séparation traumatiques. Elle aide aussi le parent à se séparer plus sereinement (car l’anxiété parentale alimente celle de l’enfant). Progressivement, l’enfant accepte mieux les séparations courtes et peut explorer le monde avec confiance.

4. Les retards de développement psychomoteur

La situation : Votre enfant tarde à marcher, à parler, à acquérir la propreté, ou semble « en retrait » par rapport aux autres enfants de son âge. Il peut aussi avoir des difficultés de coordination, de motricité fine, ou sembler « dans sa bulle ». Les bilans médicaux sont rassurants mais le retard persiste.

Signe concret : Votre enfant a 18 mois et ne marche toujours pas, ou 2 ans et demi et dit seulement quelques mots. Vous sentez qu’il « pourrait » mais quelque chose le retient. Les professionnels vous disent d’attendre mais vous voulez l’aider maintenant.

Ce qui se passe : Au-delà des causes physiologiques ou neurologiques (à toujours vérifier en premier), certains retards de développement sont liés à des blocages émotionnels ou énergétiques. Un choc in utero, une naissance difficile, un manque de stimulation, ou une hypersensibilité peuvent freiner l’envie de l’enfant d’explorer le monde et de « grandir ». Parfois, des réflexes archaïques non intégrés bloquent aussi le développement moteur.

Comment la kinésiologie aide : La kinésiologie (notamment via le Brain Gym) stimule les connexions neuronales, intègre les réflexes archaïques, et libère les blocages qui freinent le développement. Elle redonne à l’enfant l’élan et la confiance nécessaires pour franchir les étapes à son rythme. Le travail se fait en douceur, en respectant son tempo.

5. L’hypersensibilité et les pleurs excessifs

La situation : Votre bébé ou jeune enfant pleure énormément, pour tout et rien. Il est hypersensible aux bruits, aux lumières, aux tissus, aux ambiances. Il semble constamment « à fleur de peau », difficile à consoler, et épuisé par ses propres émotions. Vous ne comprenez pas ce qui ne va pas.

Signe concret : On vous dit souvent « quel bébé difficile ! » Vous avez l’impression que votre enfant souffre en permanence sans que vous sachiez comment l’aider. Vous êtes vous-même épuisé(e) émotionnellement par cette hypersensibilité constante.

Ce qui se passe : Certains enfants naissent avec une sensibilité exacerbée : ils captent et absorbent toutes les émotions et énergies autour d’eux comme des « éponges émotionnelles ». Leur système nerveux est en hyperstimulation permanente. Cela peut être lié à leur tempérament naturel, mais aussi à un stress vécu in utero (anxiété maternelle, deuil, conflit) ou à un environnement trop stimulant pour leur système immature.

Comment la kinésiologie aide : La kinésiologie apaise le système nerveux hypersensible de l’enfant et l’aide à mieux « filtrer » les stimuli extérieurs. Elle travaille aussi sur l’ancrage et l’enracinement, pour que l’enfant se sente plus solide et moins envahi par tout ce qui l’entoure. Le parent apprend aussi comment créer un environnement apaisant adapté.

Autres motifs fréquents de consultation :

  • Problèmes de peau (expression d’un stress émotionnel)
  • Chocs à la naissance (forceps, césarienne d’urgence, cordon autour du cou)
  • Hospitalisations précoces et séparations
  • Tensions suite à des fécondations assistées (PMA, parcours difficile des parents)
  • Grossesses ou accouchements traumatiques dont le bébé garde la mémoire
  • Adoption : accompagner l’attachement et libérer les mémoires d’abandon

AVERTISSEMENT IMPORTANT POUR LES NOURRISSONS ET PETITS ENFANTS

La kinésiologie est un accompagnement complémentaire qui ne remplace en AUCUN CAS un suivi médical pédiatrique.

Avant toute consultation en kinésiologie pour votre bébé ou jeune enfant, il est IMPÉRATIF de :

Consulter votre pédiatre ou médecin traitant pour éliminer toute cause médicale aux symptômes (reflux pathologique, allergies, infections, troubles neurologiques, etc.)

Suivre les recommandations médicales et les traitements prescrits

Ne jamais interrompre un traitement médical sans avis de votre médecin

La kinésiologie intervient EN COMPLÉMENT du suivi médical pour :

  • Apaiser les tensions émotionnelles
  • Accompagner les traitements en cours
  • Soutenir l’équilibre global de l’enfant
  • Travailler sur les aspects émotionnels et énergétiques

En cas d’urgence médicale (fièvre élevée, déshydratation, détresse respiratoire, pleurs inhabituels et inconsolables, changement brutal de comportement), consultez immédiatement un médecin ou appelez le 15.

La kinésiologie ne soigne pas les maladies. Elle accompagne l’être dans sa globalité, en complément d’un suivi médical approprié.

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